De zéro à millionnaire

Auteur: Nicolas Bérubé

Ma note: 8/10


Argent


Mes highlights



L’investisseur Warren Buffett a acheté sa maison actuelle à Omaha, au Nebraska, en 1958. Il l’a payée 31 500 $. Sa propriété est aujourd’hui évaluée à 700 000 $. Mais s’il avait plutôt investi ses 31 500 $ dans le marché boursier, ce placement vaudrait aujourd’hui plus de 23 millions de dollars.


Penser est facile. Agir est difficile. Mais la chose la plus difficile au monde est d’agir en accord avec sa pensée.


Entre 1968 et 1985, les marchés boursiers n’ont pratiquement pas pris de valeur.


Attendre avant de commencer à investir est l’une des erreurs les plus coûteuses que l’on puisse commettre.


Mais les investissements dans des fabricants automobiles ont généralement été des flops financiers. Plus de 2 900 compagnies de voitures ont vu le jour depuis le début du siècle dernier aux États-Unis. Presque toutes ont disparu, avalées par des compétiteurs ou, le plus souvent, ont fermé leurs portes


Un investissement de 10 000 $ dans les actions de Pfizer au cours des premiers jours de la pandémie valait 11 900 $ un an plus tard, au moment où des millions de personnes faisaient la file pour recevoir le vaccin de l’entreprise. Un achat d’une valeur de 10 000 $ d’actions de la compagnie Starbucks, qui a dû fermer des centaines de succursales durant la pandémie, valait quant à lui 14 200 $ au bout de la même année. Un résultat 20 % supérieur à celui de Pfizer.


Méfiez-vous des choix d’investissement qui produisent des applaudissements : les meilleurs coups provoquent habituellement des bâillements


Les rapports SPIVA mesurent la performance des gestionnaires de portefeuille par rapport à celle du marché boursier


Historiquement, les marchés boursiers nord-américains sont en hausse près de 7 années sur 10. Oui, 3 années sur 10, les détenteurs d’actions s’appauvrissent.


On achète des actions pour bien manger ; on achète des obligations pour bien dormir. »


Les personnes qui réussissent bien dans la vie ont tendance à voir les marchés financiers comme des instruments censés reconnaître et récompenser leur supériorité.


Apprendre que les chutes des marchés sont courantes, inévitables et nécessaires.


Les humains sont incapables de rester assis tranquillement : nous sommes toujours inquiets, toujours insatisfaits, nous essayons toujours de faire des progrès, nous essayons toujours de deviner l’avenir.


Mais le rendement moyen du marché après trois ans est de 42 %, et de 66 % après cinq an


au bout de 35 ans, le manque à gagner engendré par les frais de gestion annuels de 2 % atteindra 785 000 $, alors que notre gain sera de 650 000 $.


Lorsqu’on vit ses premières années sur le chemin de l’investissement, le plus grand danger n’est pas de subir une baisse de ses actifs. Le plus grand danger est de ne pas assez investir.


Mon but est d’accumuler des actifs, pas des responsabilités.